Des années après son départ, la voix d’Osinachi Nwachukwu résonne toujours comme un souffle divin à travers l’Afrique et bien au-delà. Son chant mythique « Ekwueme », interprété aux côtés du pasteur Prospa Ochimana, demeure une prière vivante, une source d’espérance, un appel à la présence de Dieu qui ne s’éteint jamais.
Sortie il y a plusieurs années, Ekwueme qui signifie “Celui qui dit et qui accomplit” en igbo, a traversé le temps et les frontières.
Des églises nigérianes aux temples congolais, des radios chrétiennes aux réseaux sociaux, la voix d’Osinachi continue d’émouvoir, d’apaiser et de ramener les cœurs vers la foi.
“Quand Osinachi chante, on sent que ce n’est pas juste une voix, c’est une âme qui prie”, témoigne une fidèle de Lagos l’ors d’un échange téléphonique avec la rédaction centrale de Kimfumu.
“Chaque fois que j’écoute Ekwueme, j’ai l’impression que le ciel s’ouvre.”
Même après sa disparition en avril 2022, sa musique reste une lumière. Ekwueme ne s’est jamais effacée des playlists, ni des cœurs. Elle symbolise la puissance de la louange sincère et la fidélité d’un Dieu qui répond toujours à ceux qui L’invoquent.
Aujourd’hui encore, de nombreux chorales, artistes et ministères reprennent son œuvre, faisant vivre son héritage à travers les générations. Son nom, Osinachi, qui signifie “venant de Dieu”, reste à jamais associé à une foi inébranlable et à une voix céleste.
Elle n’est peut-être plus parmi nous, mais à chaque note d’Ekwueme, le monde se souvient qu’Osinachi n’a pas simplement chanté : elle a prié pour l’humanité.
Djodjo Djamba
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